Le principe de précaution s’impose par rapport aux revendications actuelles de légaliser l’insémination ou la FIV avec donneur pour des femmes sans partenaire masculin, qu’elles soient seules ou à deux, hors infertilité médicale.

On a longtemps sous-estimé l’impact de la proposition d’insémination ou de FIV avec donneur et la question de la rupture du lien biologique. Le recours à un donneur de gamètes n’est pas une pratique banale : pour 96% des AMP, les tentatives d’insémination ou de FIV sont réalisées avec les gamètes des deux membres du couple.


Environ 1 300 enfants naissent chaque année par don de gamètes en grande majorité par don de sperme, soit 5 % des enfants nés par PMA. 


Le manque existentiel exprimé par les enfants aujourd’hui devenus majeurs, doit nous inciter à ne pas banaliser la PMA avec donneur que ce soit par don de sperme ou don d’ovocyte.

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